[SON DE CLOCHE]
Andres : Cette année, la plupart ou du moins la grande majorité des capitaux ont afflué vers l’ensemble du marché boursier américain, ce qui tient surtout aux élections américaines. À cela s’ajoute une désaffection pour les actions internationales.
En raison de tous les conflits qui éclatent dans le monde, les États-Unis sont perçus comme un endroit sûr où investir.
[MUSIQUE]
Chiara : Bienvenue au balado L’expérience FNB de TDAM Talks.
Je suis votre animatrice, Chiara Carozzi.
Aujourd’hui, on va revenir sur les tendances déterminantes de 2024, une année qui marque un véritable tournant pour le secteur. Au Canada, les FNB ont attiré plus de 66 milliards de dollars, surpassant le record de 2021 où ils avaient attiré 58 milliards de capitaux.
Aujourd’hui, je reçois Andres Rincon, directeur général et chef, Ventes et Stratégie de FNB à Valeurs Mobilières TD. Il possède une compréhension approfondie des tendances et des évolutions des FNB.
Andres, c’est un privilège de vous recevoir et de profiter de votre expérience.
Bienvenue.
Andres : Merci de m’avoir invité.
Chiara : Rien ne semble arrêter l’engouement du pays pour les FNB cotés au Canada.
Les actifs détenus dans des FNB ont franchi la barre des 500 milliards de dollars, avec 517 milliards d’actifs gérés à la fin de novembre 2024.
Entrons dans le vif du sujet.
Quel thème a le plus retenu l’attention des investisseurs en 2024?
Andres : Avant de passer aux thèmes, il me semble intéressant de préciser que les chiffres que vous mentionnez sont des chiffres nets.
Les chiffres bruts incluent les rachats de FNB par d’autres FNB. Les chiffres nets excluent ces rachats. Les chiffres bruts sont en réalité beaucoup plus élevés. Le secteur dans son ensemble reste sur une trajectoire de forte croissance.
Et le Canada n’est pas le seul pays à battre des records. On a surpassé le record de 2021 au Canada le mois dernier, mais les États-Unis ont aussi enregistré des entrées records de capitaux. Le record précédent se situait à 905 milliards. Le mois dernier, on a atteint 983 milliards. De même pour les FNB internationaux. À l’échelle mondiale, les FNB battent des records partout.
C’est sans conteste le support privilégié de beaucoup d’investisseurs à l’échelle mondiale.
Pour en revenir à votre question, à quoi les investisseurs ont-ils été sensibles? En 2024, le principal moteur du marché et des entrées de capitaux, c’était l’élection aux États-Unis.
C’est vraiment le grand facteur qui a motivé ces flux.
Il suffit de regarder où va l’argent.
Cette année, la plupart ou du moins la grande majorité des capitaux ont afflué vers l’ensemble du marché boursier américain, ce qui s’explique par les élections américaines.
À cela s’ajoute une désaffection pour les actions internationales.
En raison de tous les conflits qui éclatent dans le monde, les États-Unis sont perçus comme un endroit sûr où investir. Ces facteurs ont vraiment favorisé les afflux de capitaux sur le marché américain.
Chiara : Voyez-vous des thèmes pour les FNB axés sur les États-Unis, une orientation géographique?
Andres : Ils sont fortement axés sur l’ensemble des marchés. En gros, les investisseurs recherchent un bêta. Ceci dit, on constate un fort appétit pour le risque. Les sociétés à petite capitalisation qui ont de la trésorerie sont très populaires. C’était encore inimaginable il y a deux ans.
Beaucoup d’autres FNB thématiques sont très populaires.
Il y a des paniers risqués. On note un vif intérêt pour les semi-conducteurs, l’IA. Ces domaines suscitent énormément d’intérêt.
On observe aussi la croissance des options d’achat couvertes. Au Canada, ce thème revient depuis de nombreuses années et prend de l’ampleur, mais aux États-Unis, les FNB d’options d’achat couvertes ont dominé cette année.
Bien sûr, les titres à revenu fixe poursuivent leur croissance à l’échelle mondiale.
L’un des grands thèmes qu’il me semble important de souligner, c’est que le Canada est un leader des FNB de titres à revenu fixe et à gestion active.
Les États-Unis ont toujours accusé un retard dans ce domaine, mais ils sont en train de se rattraper.
C’était une année très importante pour les stratégies à gestion active aux États-Unis.
Chiara : Pourquoi les Canadiens recherchent-ils si activement le rendement? On a vu un énormément de lancements de stratégies de produits dérivés. Pouvez-vous nous en dire un peu plus?
Andres : Oui.
Les Canadiens ont tendance à être un peu plus prudents dans leurs placements et le rendement joue un rôle très important.
Les facteurs démographiques jouent peut-être aussi un rôle, ici au Canada, mais les gens investissent surtout dans des FNB pour le rendement.
Aux États-Unis, on a plutôt tendance à rechercher d’abord la croissance. N’oublions pas qu’aux États-Unis, il y a beaucoup d’investisseurs mondiaux qui recherchent une exposition au marché américain. Au Canada, si vous voulez une exposition au bêta, il suffit de choisir un FNB américain ou canadien qui offre une exposition aux États-Unis. Toutefois, beaucoup d’investisseurs canadiens recherchent un rendement, d’où la grande popularité des produits qui offrent un rendement.
Les titres à revenu fixe, les options d’achat couvertes sont donc très populaires. Cette année, les options d’achat couvertes sur obligations connaissent un essor. Ce phénomène est apparu aux États-Unis il n’y a pas si longtemps. Actuellement, il n’y a que 20 produits de ce type au Canada.
Ils regroupent 25 % des entrées dans les fonds d’options d’achat couvertes. C’est remarquable, car c’est vraiment un domaine inexploré. Il y a plus de 150 fonds d’options d’achat couvertes pour les actions, mais seulement 20 pour les obligations.
Pourtant, ils dominent vraiment une grande partie des flux. À mon avis, c’est la prochaine frontière pour les options d’achat couvertes. Essentiellement, il s’agit d’ajouter toujours plus de rendement.
On en revient à ce besoin de rendement.
Les gens aiment la stabilité d’un taux de rendement. Même si ce type d’actifs présente une certaine volatilité et que les options d’achat couvertes présentent aussi des inconvénients, il y a maintenant une demande dans ce domaine.
Chiara : C’est très intéressant de constater cet écart de tendance entre les États-Unis et le Canada dans le domaine des FNB.
Changeons un peu de sujet. Parlons des FNB de liquidités. On a constaté des entrées importantes, surtout au début de 2024.
Parlez-nous un peu des différents types de FNB de liquidités et des vecteurs de cette tendance en début d’année.
Andres : Oui.
Il y a trois... En fait, il y a beaucoup de produits différents. Il y a les FNB d’épargne à intérêt élevé. On les appelle parfois FNB de gestion de trésorerie. Il y a plusieurs noms différents.
Pour résumer, l’argent que vous confiez à ces fonds est tout simplement placé dans un compte d’épargne.
C’est tout.
Ces fonds n’achètent pas de titres en votre nom. Ils ne font que déposer l’argent en votre nom. Ils sont très populaires depuis quelques années. On a vraiment constaté un engouement.
Ces produits existent déjà depuis quelque temps, mais avec la hausse des taux l’an dernier et depuis dix ans, ils ont gagné en popularité auprès de beaucoup d’investisseurs qui les préfèrent aux comptes au comptant, aux CPG; etc.
Des changements réglementaires ont été apportés ou appliqués cette année, ce qui a abaissé les taux de ces produits.
Par ailleurs, le contexte des taux est en train de changer, et on assiste à une baisse des rendements.
Ces produits deviennent donc un peu moins attrayants, mais ils demeurent très populaires dans tous nos canaux, partout au Canada, dans les Services bancaires de détail et chez les conseillers.
Voilà pour le premier ensemble de produits. Il y a aussi les produits du marché monétaire. Ils regroupent les certificats de dépôt, les bons du Trésor, le papier commercial, parfois des comptes d’épargne. Ils combinent différents produits ou titres qui donnent une exposition au marché monétaire. Ils sont très populaires en ce moment.
Il y a aussi les obligations à court terme qui arrivent à échéance au cours de l’année suivante. Ensemble, ils constituent le groupe des produits à revenu fixe à court terme, et ils sont très populaires.
Pourquoi? Là encore, à cause de ce besoin de rendement. Et les rendements sont très attrayants actuellement.
En ce qui concerne les flux de cette année, les FNB de gestion de trésorerie ou à taux d’intérêt élevés ont enregistré de légères sorties de capitaux suite aux changements réglementaires dont j’ai parlé.
L’argent est allé vers les autres produits que j’ai mentionnés, comme ceux du marché monétaire et ceux à très court terme.
GPTD a donc récemment lancé un FNB du marché monétaire qui a remporté un franc succès.
Les sommes investies dans ces produits sont très importantes, d’autant que les gens délaissent les CPG au profit de ces produits.
Ils s’en servent pour gérer l’exposition et l’absence d’exposition.
Chiara : Très bien.
Merci pour ces explications détaillées.
C’est intéressant de voir comment les investisseurs utilisent ces produits pour mettre leurs espèces en attente.
Passons aux obligations.
Les obligations à échéance cible existent depuis plusieurs années, mais elles ont récemment bénéficié d’un regain de popularité.
Dites-moi, d’où viennent les entrées de capitaux dans le secteur des titres à revenu fixe?
Andres : C’est étonnant, en effet.
Les FNB d’obligations à échéance cible existent depuis longtemps. Ils attiraient très peu de capitaux, jusqu’à récemment.
Je pense qu’il y a plusieurs explications. Mais permettez-moi de revenir à votre première question sur les flux. L’an dernier se classe parmi les années d’activité pour les titres à revenu fixe. C’est l’une des premières fois où il y a eu plus d’entrées que pour les actions. C’est énorme, parce qu’il est entendu que chez les conseillers, les titres à revenu fixe sont très utilisés.
Pour les placements directs, ils ne sont pas nécessairement choisis en priorité. Pourtant, c’est là qu’on a constaté une énorme croissance, toujours à cause de la hausse des rendements et du besoin de rendement dans le segment des placements directs.
On note un vif intérêt, tout comme pour les FNB d’options d’achat couvertes sur obligations.
Mais la croissance est toujours au rendez-vous. C’est intéressant. L’an dernier a été exceptionnel pour les titres à revenu fixe. Cette année, la tendance se poursuit mais en comparaison, ce sont les actions qui dominent.
Comme je le disais, les actions américaines ont le plus fort pouvoir d’attraction. Ceci dit, on voit encore beaucoup d’entrées dans les titres à revenu fixe en général.
L’agriculture reste le secteur où on observe le plus de flux.
D’habitude, l’exposition à l’agriculture représente environ 60 % du flux, soit environ deux tiers.
C’est là que va la plus grande partie de l’argent.
On voit aussi des entrées dans les options d’achat couvertes sur obligations. Le reste est vraiment à court terme, c’est-à-dire sur le marché monétaire, les obligations à court terme.
C’est là qu’on note de fortes entrées de fonds.
Comme vous l’avez dit, parmi les produits qui se sont démarqués, il y a les FNB d’obligations à échéance cible.
Ils sont devenus très populaires au cours des trois ou quatre dernières années.
Les conseillers s’y intéressent beaucoup, pour une raison assez simple. Les conseillers veulent des produits simples. Ils veulent une certitude quant aux prix dans l’année qui vient. Ces produits répondent à ce besoin. Avec ce produit, l’obligation arrive à échéance à une date fixe, et elle va expirer à sa valeur nominale.
Ce type de FNB offre donc un peu plus de certitude. Les porteurs de parts bénéficient de plus de sécurité. Comme ces FNB apportent un degré de certitude plus élevé, beaucoup de conseillers se tournent maintenant vers ces produits.
Vous pouvez aussi les utiliser pour l’échelonnement des échéances car, en fin de compte, ces produits achètent un FNB ayant la même année d’échéance, essentiellement.
On les utilise aussi en raison de la durée qui est généralement plus faible, car les obligations arrivent à échéance.
Il y a donc plusieurs raisons.
Le risque est plus faible, la durée plus courte, l’incertitude est moindre et on a plus de souplesse pour l’échelonnement.
Ces produits deviennent très populaires.
Ils sont populaires dans le monde des fonds communs de placement depuis longtemps.
Maintenant, ils deviennent très populaires dans le monde des FNB.
C’est donc un domaine de croissance.
GPTD en propose plusieurs et certains concurrents ont enrichi leur gamme.
C’est aussi un domaine de croissance pour l’ensemble du secteur.
Chiara : Oui.
Pour moi, l’un des autres grands avantages, c’est la liquidité. On peut faire coïncider les besoins en liquidités avec l’échéance du FNB.
Passons maintenant à mes FNB préférés, les FNB de répartition des actifs. C’est la dernière tendance en date. Les profils équilibrés et de croissance investissent beaucoup dans ces FNB.
Pouvez-vous nous en dire un peu plus? Je sais aussi qu’aux États-Unis, ces FNB sont moins populaires. Je suis vraiment curieuse de comprendre pourquoi.
Pourquoi les Canadiens préfèrent-ils ce type de stratégie, mais pas les Américains?
Andres : Le Canada et l’Europe utilisent beaucoup les FNB de répartition des actifs. Ce n’est pas le cas aux États-Unis. Ces types de FNB existent là-bas, mais ils sont tout simplement moins populaires. C’est surtout parce que beaucoup de gens veulent bâtir eux-mêmes leur portefeuille plutôt que d’acheter un produit tout fait. Je crois que c’est surtout une question de culture parce qu’en définitive, vous pouvez quand même l’utiliser.
Il y a aussi un élément structurel.
Certains ne veulent pas utiliser ces produits parce qu’ils ont déjà d’autres produits concurrents. Il y a eu une poussée beaucoup plus forte au Canada.
Pour revenir à la croissance, ces produits affichent la croissance la plus rapide dans le secteur des FNB.
Le choix est vaste.
GPTD en propose un, bien évidemment, mais il y a beaucoup de choix au Canada.
C’est vraiment un produit idéal pour les placements directs.
Les conseillers les achètent, surtout pour les profils équilibrés.
Je dirais que les entrées de capitaux et les acheteurs de parts de FNB diffèrent selon le type de produit.
Placements directs, qui détient en majorité ces produits, affiche une forte orientation sur la croissance et les actions.
Si vous prenez les flux dans le secteur, ils vont surtout aux actions cette année. Les dernières années, on recherchait la croissance et l’équilibre. Cette année, c’était surtout la croissance et les actions. Les profils équilibrés sont plus souvent orientés du côté des conseillers. En général, les comptes sont plus petits. Si l’enfant d’un client actuel veut placer de l’argent, au lieu de bâtir tout un portefeuille, il achète une solution tout-en-un comme un FNB autonome. C’est devenu une solution très populaire chez les conseillers.
Mais la croissance et une grande partie des entrées de fonds récentes visent purement les actions ou la croissance. Pour clarifier, ces FNB englobent d’autres FNB qui offrent une exposition à un portefeuille équilibré, de croissance ou prudent. Dans le cas des FNB d’actions, il s’agit juste d’une exposition à des actions mondiales ou à certaines actions.
Chiara : Selon la répartition de l’actif.
Je remarque qu’ils sont souvent utilisés pour les petits comptes, en effet. Les CELI, les CELIAPP et même les REEE. C’est une solution très simple pour les investisseurs et les conseillers.
On a parlé des tendances de cette année, mais voyons aussi ce qui nous attend.
Pour conclure, parlons des prévisions pour le marché des FNB en 2025.
Que faut-il garder à l’œil à l’aube de cette nouvelle année?
Andres : Mes prévisions portent sur les produits et sur les secteurs de croissance.
Du côté des produits, je suis absolument sûr qu’un FNB d’actifs privés va arriver au Canada l’an prochain.
BondBloxx en a déjà lancé un récemment.
State Street travaille avec Apollo. La demande a déjà été déposée.
Il est très probable que le lancement ait lieu en 2025. On verra très probablement un produit semblable au Canada à un moment donné. Je pense que c’est une part importante du marché. Ce segment pèse 13 000 milliards de dollars, et les FNB n’y ont pas encore de vraie présence. C’est un domaine de croissance pour le secteur. C’est ma première prévision.
Ensuite, on s’attend à de nouveaux fonds de cryptomonnaies aux États-Unis. L’ancien président de la SEC a déjà annoncé son départ. Son successeur est très ouvert à ce sujet, d’où la forte remontée des cryptomonnaies.
Je ne serais pas surpris de voir un FNB Dogecoin et d’autres FNB de cryptomonnaies, d’après mes prévisions.
Pour les secteurs de croissance aux États-Unis, la SEC pourrait aussi approuver la série FNB, dont Vanguard détenait le brevet.
Actuellement, 22 émetteurs attendent déjà l’autorisation de lancer une série de FNB correspondant à leurs fonds communs de placement actuels.
C’est déjà très populaire au Canada.
Ça n’existe pas aux États-Unis. Ça transformerait le marché américain des FNB. Je crois que le nouveau président de la SEC donnera son feu vert. Voilà donc l’autre élément à surveiller.
Chiara : Vanguard détenait le brevet, n’est-ce pas?
Andres : Oui, depuis de nombreuses années.
Il y a énormément d’avantages que je ne vais pas les aborder ici, mais tous les grands émetteurs américains attendent ça, surtout les gestionnaires de fonds communs de placement classiques en gestion active aux États-Unis.
Pour terminer, n’oublions pas la nouvelle ligne directrice sur le TSAV au Canada.
Ce changement sera porteur de croissance pour les FNB, car il va favoriser l’accès aux assureurs canadiens.
Actuellement, les assureurs n’ont pas vraiment recours aux FNB.
Les changements qui ont déjà été approuvés vont faciliter l’achat de FNB pour eux.
Je pense donc qu’il s’agit d’un facteur de croissance pour les FNB.
Chiara : Fascinant.
On attend impatiemment ce qui s’en vient en 2025. Andres, merci beaucoup de nous avoir fait profiter de votre expérience. On comprend mieux ces grandes tendances. La conversation a été très enrichissante. Avant de conclure, vous animez aussi un balado. Je l’adore et j’écoute les épisodes.
Voulez-vous en dire plus à nos auditeurs?
Andres : Oui, merci.
J’anime le balado Points de vue sur les achats pour Valeurs mobilières TD. Cette plateforme nous permet de mettre en avant l’expertise et les points de vue de nos partenaires du secteur financier.
On reçoit des clients externes qui participent au balado pour exprimer leur point de vue sur les marchés et leurs entreprises.
C’est l’une de nos séries multiformats les plus suivies ici, à Valeurs mobilières TD.
On est sur LinkedIn et mes médias sociaux, mais aussi sur Spotify et Apple Podcasts.
Évidemment, vous pouvez nous retrouver sur le site Web de Valeurs Mobilières TD.
Chiara : J’aime vraiment le fait que ce sont des vidéos.
Excellent.
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[MUSIQUE]