Damian : Les gens éprouvent encore un immense besoin de rattraper le temps perdu. Après plusieurs années d’isolement, ils ont envie de voyager et de vivre cette expérience.
Chiara : Bienvenue à notre balado sur les FNB. On va parler des dernières tendances, des analyses et des stratégies qui vous aideront à vous y retrouver dans l’univers complexe des placements. Je suis Chiara Carozzi, directrice, Développement des affaires, FNB à Gestion de Placements TD.
Aujourd’hui, on s’envole pour un secteur en plein essor, celui des voyages. Pas besoin de passeport, mais attachez vos ceintures. On va explorer comment profiter de l’envolée de ce secteur. Je suis en compagnie de Damian Fernandes, l’un de nos gestionnaires de portefeuille de l’équipe Actions cotées, qui gère plus de 40 milliards de dollars d’actifs. Bienvenue au balado!
Damian : C’est un plaisir d’être là. Avant tout, je précise que c’est l’un de mes sujets préférés. On va parler de l’une de mes plus grandes passions, les voyages. J’ai hâte.
Chiara : Je comprends. Je suis sûre que beaucoup de nos auditeurs adorent voyager, et moi aussi. Alors allons-y! L’été bat son plein et malgré les incertitudes économiques, les troubles géopolitiques, tout le monde semble avoir attrapé le virus du voyage. On dirait que tous mes amis, ma famille, mes collègues partent en voyage. Soit ils partent pour des vacances en Europe, soit ils en reviennent.
Je reviens tout juste des États-Unis. Je faisais la queue à Starbucks et je n’en revenais pas. J’ai dû attendre près de 25 minutes. Il n’y a jamais eu autant de passagers sur des vols intérieurs aux États-Unis. Le dimanche 23 juin, le pays a battu le record du plus grand nombre de voyageurs contrôlés dans les aéroports américains. Près de 3 millions ont passé les contrôles de la TSA.
On dirait que l’envie de rattraper le temps perdu n'a pas encore été assouvie. Damian, quels sont les grands facteurs qui expliquent cette soif de voyages? Qu’est-ce qui se passe? Est-ce que les fans de Taylor Swift y sont pour quelque chose?
Damian : Je vous avoue tout de suite que je ne suis pas un fan de Taylor Swift. Je voyage et je prends des photos à l’occasion. Je ne les publie pas sur les médias sociaux. Peut-être que je devrais. Je crois qu’on peut distinguer deux volets dans cette question, la composante cyclique et la composante à long terme.
La composante cyclique correspond, comme vous l’avez dit, à un rattrapage. C’est tout à fait ça. Dans les pays développés et même dans les marchés émergents, on a subi des restrictions pendant la COVID. On a consommé des biens et on ne pouvait pas faire grand-chose d’autre. Dès que les restrictions ont été levées, il y a eu comme cette envie de se libérer, de sortir de sa caverne et de revoir le monde après avoir été séquestré.
Les gens éprouvent encore un immense besoin de rattraper le temps perdu. Après plusieurs années d’isolement, ils ont envie de voyager et vivre cette expérience. Voilà pour la composante cyclique. Mais il y a aussi une forte composante structurelle. La composante structurelle est davantage liée à ce que j’appelle la consommation d’expériences, à des expériences de consommation.
Quand vous consommez, vous pouvez consommer des biens ou de la nourriture, ou vous pouvez consommer des services. Le voyage est un service. Si on examine les données depuis 25 ou 30 ans, on remarque que les consommateurs se sont progressivement détournés des biens au profit des services comme les voyages, les conseils médicaux ou l’éducation. Cette tendance se poursuit et elle s’explique aussi pour des raisons structurelles.
Dans les marchés développés, le revenu discrétionnaire augmente en vieillissant. On ne peut pas acheter éternellement des TV à écran plat et des salons de jardin, mais il y a tellement d’endroits que l’on n’a pas encore visités. Les dépenses sont donc redirigées vers les voyages.
L’autre facteur très important, c’est que dans les marchés émergents, on atteint la masse critique de revenus. Qu’est-ce que j’entends par là? Pensez à la hiérarchie des besoins. En économie, on parle de la pyramide des besoins de Maslow. Tout en bas, il y a la subsistance. Avoir un toit, s’alimenter, être en sécurité. Quand vos revenus augmentent, la fonction de votre demande change. Vous avez satisfait vos besoins de sécurité de base et vous voulez aller plus loin.
On constate une démarcation très nette quand le PIB par habitant d’un pays dépasse 12 000 à 15 000 $. Les gens ne veulent plus prendre l’autobus. Ils ne veulent plus parler aux membres de leur famille à l’autre bout du pays sur leurs cellulaires. Ils veulent leur rendre visite. Ils veulent leur rendre visite en prenant l’avion. Il y a toutes ces forces à long terme, comme la technologie qui facilite la vie. Je suis assez certain que pour réserver votre voyage aux États-Unis, vous n’êtes pas allée dans une agence de voyages. Toutes ces choses simplifient et facilitent les voyages. Je pense donc que c’est une fabuleuse tendance à long terme.
Chiara : Quand je me demande si je vais encore acheter autre chose pour la maison, comme beaucoup de gens, je manque de plus en plus d’espace. Comment peut-on dépenser notre argent autrement? On travaille fort, alors autant voyager et explorer le monde. Je constate cette tendance dont vous parlez. Beaucoup de gens préfèrent créer des souvenirs plutôt que de faire des achats matériels, non?
Damian : Surtout quand on peut maintenant immortaliser ces souvenirs sur les profils de médias sociaux. Je plaisante tout le temps là-dessus, mais il y a eu une nette augmentation des voyages avec la naissance d’Instagram, parce que les gens cherchent à rendre leur profil intéressant en visitant de nouveaux endroits et en se prenant en photo devant de magnifiques monuments pour générer des J’aime. Ça leur donne une certaine satisfaction.
Il ne faut pas minimiser cet aspect. Les J’aime et l’approbation que les gens reçoivent sur les médias sociaux s’apparentent au sentiment d’affirmation qu’on éprouve en achetant... je ne sais pas, du linge ou un objet matériel.
Chiara : On estime que le secteur pèse 11 000 milliards d’ici la fin de 2024, au-delà des sommets de 10 000 milliards atteints avant la pandémie en 2019. On assiste clairement à un boom. Mais Damian, s’agit-il d’un feu de paille ou d’une croissance durable? Au Canada, on nous dit que l’économie montre des signes de ralentissement en juillet. Les gens dépensent moins au restaurant et moins dans les stations-service.
Par contre, l’hôtellerie se porte toujours bien. Quelles sont les perspectives, globalement? Quelles tendances observez-vous?
Damian : Les voyages restent un poste de consommation. Ils sont donc tributaires du cycle économique. En période difficile, les gens baissent les dépenses réservées aux voyages. En fait, ils réaffectent leurs dépenses. Par exemple, dans votre cas, au lieu d’aller aux États-Unis ou en Europe, vous pouvez décider de rester près de chez vous. Ainsi, pour les entreprises du secteur des voyages, comme les sites de réservation ou les hôtels, ça ne fait pas grande différence, toutes proportions gardées.
Si vous réduisez vos dépenses discrétionnaires globales, les compagnies aériennes seront les premières à en souffrir. Mais globalement, vous ferez des dépenses de luxe plus près de vous plutôt qu’en voyageant loin. Mais le monde est maintenant plus ouvert et on a réduit les distances. Avec la technologie et les médias sociaux, l’accès à des destinations lointaines et le plaisir qu’on en retire est en réalité – On peut difficilement faire marche arrière.
Certes, il peut y avoir des interruptions dues à des ralentissements économiques cycliques mais à long terme, la tendance reste en faveur de la consommation d’expériences grâce aux voyages.
Chiara : Imaginons un atterrissage brutal pour l’économie. Qu’est-ce que vous en pensez? Est-ce que l’impact sur les voyages sera de courte durée?
Damian : Dans l’éventualité d’un atterrissage brutal, tous les voyages seront touchés. S’il y a un atterrissage brutal, comme on l’a dit, en période d’incertitude ou de désastre économique, quand les gens perdent leur emploi, la priorité redevient bien sûr de se nourrir et de se loger, et non d’aller en vacances dans le sud de la France. Ces besoins ont préséance.
Mais ça reste temporaire, car les cycles économiques sont cycliques et quand la reprise s’annonce – C’est ce qui s’est passé pendant la COVID. Tout finit par passer. Quand on réfléchit aux placements, de notre côté, on réfléchit toujours à long terme. Où sont les opportunités que l’on peut rattacher aux tendances à long terme? Le marché se préoccupe beaucoup de l’imminence d’une récession au lieu de se demander où on en sera dans trois ans.
Chiara : Ce sont des arguments très intéressants. Quand on investit, la question est de savoir comment trouver les sociétés qui offrent le meilleur rendement. Intuitivement, pour les voyages, on pense aux compagnies aériennes et de croisières. Mais pourquoi pourrait-il y avoir de meilleures occasions ailleurs? En tant que gestionnaire de portefeuille, comment exploitez-vous cette tendance?
Damian : Il faut avoir une vision d’ensemble. Réfléchissez à votre dernière expérience de voyage. Quand avez-vous pris l’avion pour la dernière fois?
Chiara : Le mois dernier.
Damian : Le mois dernier. Pour aller où?
Chiara : En Italie.
Damian : On est en train d’inverser les rôles. C’est moi qui pose les questions. Pour aller en Italie, vous avez sans doute réservé votre voyage auprès d’une agence en ligne comme booking.com, pour comparer les prix. L’Italie fait partie de l’Union européenne. Vous n’avez pas besoin de visa. Mais vous pouvez maintenant obtenir beaucoup de visas en ligne, sans devoir vous rendre dans une ambassade. C’est la technologie qui facilite l’organisation.
Vous arrivez à l’aéroport. Les aéroports sont des exploitants privés. On peut investir dans un grand nombre d’aéroports, surtout en Europe. C’est comme les routes à péage. Plus il y a de passagers en transit dans l’aéroport, plus c’est rentable. Ensuite, pensez à la compagnie aérienne que vous avez choisie. J’espère que l’avion n’était pas un Boeing. Il vaut mieux voler à bord de modèles plus récents. Mais c’était peut-être un Airbus ou un Boeing. Il y a donc les fabricants d’avions. Et encore plus intéressant, il y a les sociétés qui fabriquent les pièces détachées.
Pensez à GE, qui fabrique les pièces des moteurs, ou à une société qu’on aime bien appelée Howmet, qui fabrique les pièces qui composent le fuselage des avions. Une fois à destination, il y a bien sûr l’hôtel où vous logez. C’est un modèle d’affaires peu gourmand en capitaux. La plupart des hôteliers ne sont pas propriétaires de leur établissement. Ils l’entretiennent et exigent des redevances fixes et de résultat du propriétaire.
C’est si vaste. La plupart des gens s’imaginent un navire de croisière et ne veulent pas investir là-dedans. Pour ma part, je ne suis jamais monté à bord d’un bateau de croisière. C’est l’un des rares voyages que je suis encore prêt à faire. Mais il faut voir plus loin que les bateaux, les compagnies aériennes et les Boeing. Le secteur est bien plus vaste. Il y a les sociétés émettrices de cartes de crédit, comme Visa ou Mastercard, qui engrangent des profits importants à chaque opération transfrontalière. Quand vous êtes en Europe et que vous utilisez votre carte, elles engrangent des frais importants parce que vous êtes domicilié au Canada.
Chiara : Sans parler de la logistique pour les trajets depuis et vers l’aéroport, les réservations de restaurants, etc.
Damian : Les Uber et les recommandations. C’est un secteur très vaste. Et il y a tant de façons de l’exploiter.
Chiara : Vous avez parlé des hôtels. Vous aimez investir dans ce secteur et dans ces entreprises pour profiter de tendance. Quel sera l’impact de la réglementation sur Airbnb sur la croissance du secteur hôtelier?
Damian : Je crois qu’Airbnb va faire face à des difficultés. La société vient de publier un rapport. Les hôtels sont un peu protégés. Le problème pour Airbnb en ce moment, surtout là où elle propose des locations, c’est la pénurie de logements. Les municipalités canadiennes sont presque réticentes. Elles mettent en question le bien-fondé d’avoir des appartements vacants alors qu’il y a une pénurie de logements en ville.
Cet argument ne tient pas pour un hôtel. L’hôtel est déjà construit. C’est un exploitant. On a donc tendance à privilégier le modèle hôtelier plutôt que les nouvelles formes d’hébergement comme Airbnb ou MyStay, tout simplement parce que les hôteliers ont déjà reçu l’autorisation des municipalités de construire, de bâtir et d’exploiter. Ils ne diminuent pas le nombre de logements existants.
Il faut tenir compte de ces changements réglementaires importants. On aime les hôtels, parce que les établissements Hilton, Marriott ou Fairmont appartiennent à la société européenne Accor. On pense souvent que les hôteliers sont propriétaires des établissements, mais pas du tout. Les propriétés hôtelières vendent les établissements.
Chiara : La marque?
Damian : Elles détiennent simplement la marque, la fidélité des clients, les points. Elles fournissent les services. Ces entreprises sont peu gourmandes en capitaux. J’entends par là qu’elles ne détiennent pas vraiment beaucoup d’actifs très rentables liés à ces tendances à long terme. Pour nous, ça revient presque à encaisser des coupons. Les rendements sont récurrents.
Chiara : Vous avez évoqué des modèles d'affaires intéressants et plusieurs chaînes de valeur. Vous avez parlé des hôtels et des fabricants de pièces détachées. Est-ce que vous privilégiez d’autres modèles d’affaires? Quels titres détenez-vous dans vos portefeuilles et depuis combien de temps?
Damian : Parmi nos produits préférés, il y a par exemple le FNB à dividendes bonifiés mondiaux que je gère avec Ben Gossack. Il s’apparente au FNB de dividendes bonifiés américains. On a des sociétés de grande qualité. Les FNB ont pour but de verser des rendements, mais on est liés aux tendances à long terme. On détient des titres de fabricants de pièces comme Howmet, qui assure l’entretien régulier et fournit des pièces détachées aux compagnies aériennes.
On possède aussi des titres hôteliers. Et on réfléchit constamment aux différentes façons d’exploiter ce thème. On l’exploite sous l’angle des flux de revenus récurrents. On évite les secteurs très gourmands en capital, comme les croisiéristes, les propriétaires des bateaux de croisière. S’il y a une épidémie à bord d’un bateau, on perd beaucoup d’argent.
Dans un hôtel, ça ne risque pas d’arriver. On préfère largement investir dans des sociétés... Par exemple, entre un constructeur d’avions et un fabricant de pièces détachées, on préfère détenir des titres du fabricant de pièces détachées, parce que les appareils font l’objet d’une maintenance permanente. C’est de là que provient une grande partie des revenus. Il faut remplacer les pièces, tout simplement à cause de l’usure. Ce modèle d’affaires est comparable à une rente. Tous nos auditeurs savent de quoi je parle. C’est ce vers quoi on tend, et c’est ce qu’on détient dans nos FNB de dividendes bonifiés mondiaux et américains.
Chiara : J’aime beaucoup ces thèmes parce que, comme vous l’avez dit, le revenu est régulier, les besoins en capital sont moindres et quoi qu’il arrive, vous disposez d’une source de revenus continue.
Avez-vous un mot de la fin pour nos auditeurs? De quoi doivent-ils tenir compte s’ils cherchent à tirer parti de cette tendance?
Damian : Je terminerais sur les risques et les occasions. Les risques sont, comme vous l’avez indiqué, de nature économique. Les voyages restent des dépenses discrétionnaires. Ce ne sont pas des biens essentiels. Rien à voir avec le pain ou d’autres produits de consommation de base. C’est un poste discrétionnaire. Quand l’économie est difficulté, les titres du secteur des voyages en souffrent. Mais il ne faut pas que ça vous rebute. Pour moi, c’est une occasion en raison des tendances à long terme.
Ensuite, il faut tenir compte des occasions qui se profilent pour tous nos auditeurs la prochaine fois qu’ils réserveront un voyage, par exemple sur un site d’agence de voyages en ligne, ou qu’ils prendront un Uber vers l’aéroport et choisiront une compagnie aérienne, qu’ils seront assis dans l’avion et qu’ils regarderont autour d’eux en essayant de boucler leur ceinture de sécurité. Je pourrais parler des heures des différentes chaînes de valeur qui permettent de se rendre à destination et d’arriver jusqu’à l’hôtel.
Il y a toute une série de chaînes de valeur à l’œuvre. Quand les gens pensent aux voyages, ils ont une vision un peu myope. Ils ne veulent pas détenir de titres de compagnies aériennes ou de croisiéristes, mais il existe d’excellents modèles d’affaires qu’on a passé beaucoup de temps à analyser, qui font partie de nos portefeuilles et qu’on aime beaucoup.
Chiara : En tant qu’investisseur, il faut vraiment prendre du recul. À chaque étape de la planification de vos vacances ou d’un voyage, réfléchissez à ce que les entreprises font en coulisse pour vous emmener d’un point A à un point B. C’est peut-être une occasion dont on peut profiter.
Dans dix ans, on prévoit que le secteur du tourisme pèsera 16 000 milliards de dollars. Pour tirer parti des occasions dans le secteur des voyages, jetez un œil à notre FNB à gestion active de dividendes bonifiés mondiaux TD, TGED, et à notre FNB à gestion active de dividendes bonifiés mondiaux, TUED. Ces deux FNB sont classés 5 étoiles par Morningstar, dans le meilleur centile de leurs catégories respectives. Ce sont d’excellentes options pour s’exposer aux secteurs et aux sociétés dont on a parlé aujourd’hui.
Merci beaucoup de votre temps, Damien. C’était un plaisir.
Damian : Tout le plaisir est pour moi. J’adore parler de tout ce qui m’intéresse sur le plan personnel et sur le plan professionnel.
Chiara : Super. Merci.
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