Justin :
Je m’appelle Justin Flowerday et je dirige l’équipe Gestion fondamentale des actions au sein de Gestion de Placements TD.
Je suis né à Sudbury, j’ai grandi à Ottawa où je suis allé à l’école, puis j’ai étudié la finance à l’Université McGill avant de rejoindre Gestion de Placements TD en 1999, puis l’équipe Traitement des actions en 2003. Il y a une dizaine d’années, j’ai commencé à constituer une équipe de recherche sur les actions mondiales que j’ai ensuite eu l’occasion de diriger.
Plus récemment, j’ai pris la direction de l’équipe Gestion fondamentale des actions.
Vitali :
Je m’appelle Vitali Mossounov et je suis cochef de l’équipe de recherche, Gestion fondamentale des actions au sein de Gestion de Placements TD.
Je suis arrivé au Canada à l’âge de 10 ans et c’est vers 15 ans que je me suis passionné pour les marchés boursiers.
Les marchés de capitaux n’ont cependant pas été ma première expérience professionnelle. À vrai dire, j’étais comptable, plus précisément comptable minier et auditeur. C’était un métier qui me convenait parfaitement et qui m’a permis d’acquérir de solides compétences en matière d’analyse financière.
Plus tard, je suis devenu associé en recherche sur les actions et, voilà de ça environ neuf ans, j’ai rejoint Gestion de Placements TD où j’ai occupé divers postes dont, plus récemment, celui de cochef de l’équipe de recherche, Gestion fondamentale des actions.
Monica :
Je m’appelle Monica Young.
Je suis gestionnaire de portefeuille au sein de l’équipe Gestion fondamentale des actions de Gestion de Placements TD.
J’ai grandi à Vancouver. Mes parents ont immigré au Canada dans les années 1970 et m’ont vraiment inculqué des valeurs de travail, d’engagement, de persévérance et d’honnêteté.
Ces valeurs ont été essentielles dans mon enfance, dans mes études et, aujourd’hui, dans ma carrière de gestionnaire de portefeuille à la TD.
Mon premier emploi au sortir des études a été dans les services bancaires d’investissement au sein de Valeurs Mobilières TD.
J’ai ensuite rejoint le secteur Développement interne de la TD, où j’ai évalué les acquisitions et les dessaisissements pour le compte de la Banque.
Voilà comment j’en suis arrivée aujourd’hui à occuper le poste de gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD.
Ben :
Je m’appelle Benjamin Gossack et je suis gestionnaire de portefeuille à Gestion de Placements TD.
J’ai commencé en tant qu’ingénieur et j’ai travaillé dans l’aérospatiale pendant environ cinq ans. Puis, j’ai découvert le monde des services financiers, et j’ai pris conscience que c’est ce que je voulais faire pour le reste de ma vie.
Ce fut tout un parcours pour en arriver à la gestion d’actifs.
Damian :
Je m’appelle Damian Fernandes et je suis directeur général à Gestion de Placements TD.
Je gère quelques mandats mondiaux et américains très performants.
J’ai commencé à travailler pour un bureau de placement exclusif.
Il s’agissait essentiellement de fonds de couverture internes pour les institutions financières. Après la crise financière, j’ai commencé à gérer des actions américaines dans un cadre quantitatif. Je suis donc passé d’une réflexion fondamentale sur les sociétés et les équipes de direction à une réflexion sur les données et sur ce qu’elles disent sur les sociétés dans lesquelles on investit. J’avais appris que ces grandes variables macroéconomiques régissaient les marchés et je voulais passer plus de temps à les comprendre.
C’est comme ça qu’on a contribué à l’élaboration du processus de placement pour un cadre de répartition tactique des actifs, dont j’ai essayé de rassembler le tout et que j’ai bouclé la boucle au moment de rejoindre Gestion de Placements TD il y a 11 ans en y apportant le meilleur du modèle quantitatif fondamental et une certaine connaissance des variables macroéconomiques.
Justin :
Je pense que mes années d’analyste ont été très formatrices.
J’ai appris l’importance d’élaborer des cadres pour évaluer les sociétés, de mettre en place des processus pour sélectionner les titres et de déterminer les sociétés qui seront en mesure de profiter d’une plus grande partie du flux de trésorerie disponible dans un secteur donné.
Vous savez, cette expérience m’a aussi appris l’importance de la collaboration.
Quand on est plus jeune et qu’on pense à investir, on recherche des sociétés, on sélectionne les actions et on le fait tout seul.
Il suffit de lire et de se lancer.
Le concept de collaboration et le fait que d’autres personnes venant d’horizons différents peuvent poser des questions sur une thèse auxquelles on n’aurait peut-être pas pensé auparavant et qui pourraient remettre en question la nôtre sont essentiels.
Les concepts de processus et de collaboration en tant qu’analyste étaient vraiment clés.
Vitali :
Ce qui m’a fasciné lorsque j’ai découvert les marchés boursiers en pleine adolescence, c’est qu’on pouvait, d’un simple clic, devenir propriétaire d’une entreprise.
Mais honnêtement, ce que j’ai trouvé encore plus captivant, c’est que les millions de personnes qui s’intéressent à cette entreprise tous les jours avaient des avis très divergents quant à sa valeur. On en a tous fait l’expérience.
Le marché boursier fluctue considérablement, même pour les titres bien connus.
Je me suis dit que j’aimerais bien tenter ma chance et que je pouvais m’en sortir face aux autres. Je pense que c’est à ce moment que j’ai eu le déclic.
Monica :
Je collabore à l’échelle mondiale avec nos pairs à Hong Kong ou à Londres pour parler des nouveaux développements qu’ils constatent dans leurs régions.
Je collabore également avec d’autres équipes au sein de différentes catégories d’actif.
Je suis donc souvent amené à discuter avec notre équipe des titres à revenu fixe pour connaître leurs points de vue macroéconomiques et réfléchir aux relations avec nos propres portefeuilles d’actions. Je peux aussi passer du temps à faire mes propres recherches internes, à examiner les états financiers ou les publications trimestrielles et à réfléchir à la façon de repositionner les placements au sein de nos portefeuilles.
Ben :
On peut donc penser aux services financiers ou à investir dans les paramètres fondamentaux économiques des sociétés, mais il faut aussi penser à l’application.
Selon moi, mon travail quotidien consiste à résoudre des problèmes, à me renseigner sur les sociétés et à essayer d’intégrer ces renseignements à nos portefeuilles pour obtenir des rendements supérieurs.
Damian :
C’est la vision de notre équipe.
On dit toujours que les décisions sont fondées sur les données, pas vrai?
On souhaite pouvoir exploiter le scepticisme du marché en matière de régénération des liquidités disponibles.
Ça nécessite des données fondamentales, mais celles-ci doivent être étayées par des preuves.
Il ne s’agit pas simplement de communiquer mon opinion à l’équipe de direction.
Ce qui compte, c’est ce que les données nous disent.
On essaie donc de prendre les meilleurs outils de notre cadre quantitatif, de les associer à nos données fondamentales et on les réunit dans nos perspectives mondiales, c’est-à-dire une vue macroéconomique sur ce qui agite les marchés à ce moment-là.
Justin :
Quand je ne suis pas au bureau, je passe du temps avec ma femme et mes trois enfants.
Mes trois enfants ont une vie bien remplie.
Ils font tous du basketball et d’autres activités.
Je passe donc beaucoup de temps dans les gymnases de tout l’Ontario, et quand j’en ai la possibilité, j’essaie de trouver un peu de temps pour faire de l’exercice.
J’aime faire du vélo, alors l’été, le printemps et l’automne, j’avale les kilomètres.
Vitali :
Ma femme et moi avons un enfant de deux ans à la maison.
Je dirais que ma journée typique, quand je ne suis pas au travail, consiste surtout à passer du temps avec mon fils Theodore, à le regarder grandir et à voir mon temps libre fondre petit à petit comme neige au soleil.
Mais je trouve que ça en vaut la peine.
Monica :
Je pense qu’il est vraiment important de prendre du recul et d’avoir un certain équilibre dans la vie. Pour moi, la meilleure façon de le faire est d’aller marcher.
Je vis près d’un ravin, alors, j’aime faire de longues promenades, respirer l’air frais et profiter de la nature.
Ben :
La course à pied et le conditionnement physique sont des choses essentielles à ma vie, j’essaie d’en faire tous les jours.
Même quand on part en vacances, j’ai l’impression qu’il y a plus de tenues d’entraînement que de tenues normales.
Chaque jour, je mouds mon café à la main, avant de le boire et de passer du temps avec ma femme. C’est mon rituel.
Damian :
Ma famille est formidable et m’a toujours soutenu.
Une femme extraordinaire, deux garçons pleins d’entrain et un labrador retriever de 8 ans très actif. J’essaie de rester actif, de faire du sport, de courir ou d’aller au gym. J’essaie aussi de voyager autant que possible.
Justin :
Ce qui est intéressant dans notre travail, c’est que chaque jour est différent.
Qu’il s’agisse d’une réunion de gestion avec l’un de nos actifs du portefeuille, d’une rencontre avec notre équipe de gestion des risques pour discuter des répercussions de différents scénarios sur nos portefeuilles ou d’écouter l’un des analystes présenter une action.
On passe beaucoup de temps à discuter des différentes tendances dans les secteurs.
L’un des avantages de GPTD, c’est qu’on est chefs de file dans différentes catégories d’actif : les titres à revenu fixe et les titres de créance, les infrastructures, l’immobilier et la répartition des actifs.
On a alors l’occasion de collaborer et d’apprendre les uns des autres, de débattre de certains des sujets les plus importants qui détermineront l’évolution du paysage des placements. Il y a toutes sortes d’aspects différents au travail, ce qui le rend très agréable.
VITALI MOSSOUNOV :
La fierté de me rendre au travail chaque jour avec mes formidables collègues, de travailler ensemble, de nous améliorer les uns les autres en vue d’atteindre notre objectif d’excellence en matière de placements.
Monica :
Ce qui me plaît dans ce poste, c’est qu’on apprend en permanence.
C’est un environnement vraiment collaboratif où je pense qu’en définitive, chacun partage des points de vue différents, mais essaie de prendre les bonnes décisions de placement pour ses portefeuilles et ses clients.
C’est un immense honneur de pouvoir exercer un emploi que j’aime, car je n’ai pas du tout l’impression de travailler.
BENJAMIN GOSSACK :
J’aime le fait qu’il y ait des rétroactions instantanées dans le secteur de l’aérospatiale.
C’était un travail incroyable, mais comme il s’agit de cycles longs, il faut peut-être cinq ans avant qu’un moteur soit mis au point et en production.
Sur les marchés, on peut avoir une idée, une thèse, on la soumet rapidement aux marchés avec ses rétroactions, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, puis on peut fixer un cap en fonction de celles-ci.
Damian :
On en apprend tellement sur les différents secteurs et sur ce qui les stimule.
Chaque jour, quand je regarde ces différentes sociétés et les secteurs dans lesquels on investit, ma curiosité innée est satisfaite.
Justin :
Quand je pense à notre équipe, je pense à la diversité des personnes qui la composent et à leurs parcours, et je pense que cet aspect essentiel a contribué à notre réussite.
Je repense parfois à certaines des embauches effectuées au cours des 20 dernières années : on compte des personnes formées en génie aérospatial, en comptabilité ou encore dans le domaine des politiques publiques.
Notre équipe se compose de profils très intéressants.
La raison pour laquelle cette diversité est si importante, c’est que notre travail consiste à analyser les sociétés et les secteurs, puis à débattre et à obtenir des renseignements de tous horizons afin de prendre des décisions de placement optimales pour nos clients.
RENSEIGNEMENTS IMPORTANTS :
Les renseignements aux présentes ont été fournis par Gestion de Placements TD Inc. aux fins d’information seulement. Ils proviennent de sources jugées fiables. Ces renseignements n’ont pas pour but de fournir des conseils financiers, juridiques, fiscaux ou de placement. Les stratégies fiscales, de placement ou de négociation devraient être étudiées en fonction des objectifs et de la tolérance au risque de chacun.
Le présent document peut contenir des déclarations prospectives qui sont de nature prévisionnelle et pouvant comprendre des termes comme « prévoir », « s’attendre à », « compter », « croire », « estimer » ainsi que les formes négatives de ces termes. Les déclarations prospectives sont fondées sur des prévisions et des projections à propos de facteurs généraux futurs concernant l’économie, la politique et les marchés, comme les taux d’intérêt, les taux de change, les marchés boursiers et financiers, et le contexte économique général; on suppose que les lois et règlements applicables en matière de fiscalité ou autres ne feront l’objet d’aucune modification et qu’aucune catastrophe ne surviendra. Les prévisions et les projections à l’égard d’événements futurs sont, de par leur nature, assujetties à des risques et à des incertitudes que nul ne peut prévoir. Les prévisions et les projections pourraient s’avérer inexactes dans l’avenir. Les déclarations prospectives ne garantissent pas les résultats futurs. Les événements réels peuvent différer grandement de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les déclarations prospectives. De nombreux facteurs importants, y compris ceux énumérés plus haut, peuvent contribuer à ces écarts. Vous ne devriez pas vous fier aux déclarations prospectives.
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